Titre : | Contribution au devoir d'information au patient en rhumatologie à propos de 300 cas. Discussion. |
Auteurs : | R. TREVES ; D. COYRAL ; Bernard HILLEMAND, Discutant ; Michel BOUREL, Discutant ; P. QUENEAU, Discutant ; Pierre PICHOT, Discutant ; Georges DAVID, Discutant ; René KUSS, Discutant |
Type de document : | Article |
Dans : | BULLETIN DE L'ACADEMIE NATIONALE DE MEDECINE (188 Num 7, 01/01/2004) |
Article en page(s) : | 1185-1199 |
Note générale : | Référence : 10 réf. |
Langues: | Français |
Catégories : |
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Résumé : | [BDSP. Notice produite par INIST-CNRS 7F5FER0x. Diffusion soumise à autorisation]. Les arrêts prononcés par la Cour de Cassation et le Conseil d'État depuis 1997 ont bouleversé la notion d'information médicale. Tout en restant claire et loyale, elle doit porter sur tous les risques graves, même exceptionnels, afférents aux investigations et aux soins. Il incombe désormais au praticien de prouver qu'il a informé son patient. Nous avons évalué l'opinion des patients après les consultations et après la lecture des fiches rédigées par la Société Française de Rhumatologie. Des questionnaires étaient ensuite distribués pour connaître l'angoisse, l'utilité et la compréhension induites par ces notices. Le recueil d'un consentement écrit et signé a été bien accueilli par la majorité des patients. L'information est très bien acceptée avec une préférence pour "information orale. L'information est jugée utile et compréhensible mais relativement angoissante. L'anxiété était significativement plus élevée chez les femmes et dans le groupe des patients n'ayant jamais eu de gestes ou d'examens. |